«Premièrement, en fait la pauvreté s'accroît, les inégalités s'accroissent dans le pays et par conséquent un nombre significatif de Canadiens sont trop pauvres pour se nourrir de manière saine», a-t-il asséné devant les caméras.
«Deuxièmement, il y a un changement dans la manière de se nourrir, ce qui entraîne des taux très élevés d'obésité», a observé M. De Schutter, qui avait visité des zones pauvres de banlieue et des réserves autochtones reculées où la nourriture coûte cher en raison des frais de transport.